Nous accueillons aujourd’hui un vieil habitué des lieux. En plus d’être un célèbre auteur sur le Web, il nous revient avec un livre… en papier.
Bonjour Tristan. Inutile de te présenter aux Mozilliens, mais pour les plus jeunes, peux-tu nous rappeler les grandes étapes de ton implication dans le projet Mozilla ?
Bonjour Mozinet, bonjour les Mozilliens !
J’ai eu la chance de participer au tout début du projet Mozilla, lors de son lancement en janvier 1998 : j’étais employé de Netscape et je travaillais au marketing et relations presse, en plus d’être un fan de logiciel libre (j’avais rencontré Stallman quelques années auparavant et j’étais utilisateur d’Emacs).
En 2001, je suis passé à un poste « évangéliste Europe » pour promouvoir Gecko, le moteur de ce qui allait devenir Firefox. C’était pas une période facile, car tous les sites étaient faits pour Internet Explorer qui avait plus de 90 % de parts de marché !

Vous avez l’habitude de découvrir votre mise à jour de Firefox en français en même temps que paraît celle en VO anglaise. Ce n’a pas toujours été le cas. Alors que Mozilla 1.0 est


La fonctionnalité appelée en anglais dans la VO de Firefox « Safe Browsing », soit « navigation sécurisée » comme vous pourrez la voir appelée ailleurs, a été traduite par « blocage des sites malveillants » par l’équipe bénévole de traduction communautaire de Firefox. Cette fonctionnalité à plusieurs composantes suscite parfois phantasmes et incompréhensions surtout dus au fournisseur des services centralisés à la base du système : Google.



Ça devait arriver : nous, les chats, avons pris le contrôle de la lettre mensuelle du mois dernier (